Samedi 2 juin 2018 – 20h45
ART PIANO – 20 rue Roger Salengro – 94 CHAMPIGNY-SUR-MARNE

ATTENTION

• Nous commencerons le mois de juin par le concert, et non par la jam
• Le concert aura lieu un samedi (le 2 juin) au lieu du vendredi habituel
• Le concert aura lieu, comme chaque fin d’année, à ART PIANO à Champigny
• En juin il y aura également 2 x JAMS !

Jeune pianiste prolifique au talent incomparable, lauréat du Prix Django Reinhardt 2016 de l’Académie du Jazz, Fred Nardin ne cesse de multiplier les projets. Co-créateur de la grande formation « The Amazing Keystone Big Band » (dont le disque « Pierre et le Loup … et le Jazz », ré-adaptation pour grand orchestre de Jazz de la célère oeuvre de Prokofiev, a remporté le prix du Meilleur album de Jazz Francais de l’Académie du Jazz en 2013.), il est l’un des sidemen le plus sollicité de la scène parisienne actuelle, notamment aux côtés de Nancy Harms, Gael Horellou, Natalia M.King, Sophie Alour, Jean Philippe Scali ou encore Cécile McLorin Salvant.

La bio de Fred ici

Fred Nardin et le saxophoniste Jon Boutellier entretiennent une complicité musicale depuis 2007. Formés tous les deux au Conservatoire Nationale Supérieur de Musique de Paris mais aussi à l’école des jams sessions parisiennes, ils dirigent ensemble ce quartet dans lequel vient s’adjoindre le contrebassiste Patrick Maradan et le batteur Romain Sarron.

Paru en ce début d’année 2016 sur le label Gaya Music, leur disque « Watt’s » témoigne de leur jazz « straight ahead » assumé et maitrisé, mais résolument tourné vers la composition et l’arrangement Ils convient d’ailleurs sur ce tout nouvel opus leurs collègues David Enhco (tp) et Bastien Ballaz (tb), ainsi que la chanteuse Cécile McLorin Salvant.

« En écoutant de tels représentants de la nouvelle génération, on a vraiment l’impression que le jazz est immortel » Philippe Vincent – Jazz Magazine (4 étoiles)
« Un très bon disque (…) des compositions qui retiennent l’attention : elles ont une sorte de majesté, ouvrent des horizons poétiques et font rêver. » Michel Contat – Telerama (ff )
« un swing impressionnant !» Alex Duthil – Open Jazz France Musique

Fred Nardin: piano
Jon Bouteillier: saxophone
Patrick Madaran: contrebasse
Romain Sarron: batterie

Entrée : 20€, 10€ (adhérent)

Vendredi 25 mai 2018 – 20h45
A Tout Va Bien

Le quartet jouera des compositions originales d’Andreas Polyzogopoulos, des titres de ses premiers albums « Annica » et « Perfumed Dreams », ainsi que des extraits de son prochain projet.
Andreas Polyzogopoulos est un trompettiste grec actuellement basé en France. Il est impliqué dans divers styles de musique improvisée. En tant que leader, il a enregistré du jazz électrique et acoustique, un hommage à Pink Floyd, de la musique ambiante et, en tant que sideman, il a participé à plus de 60 disques.

Andreas Polyzogopoulos : trompette
Federico Casagrande : guitare
Marc Buronfosse : contrebasse
Simon Bernier : batterie

Entrée : 20€, 10€ (adhérent)

Vendredi 20 avril 2018 – 20h45
A Tout Va Bien

Jean-Pierre Derouard, poly instrumentiste d’origine américaine et vietnamienne, est considéré par la presse spécialisée comme l’un des meilleurs batteurs de jazz de sa génération.

Il joue, a joué et a enregistré avec des grands noms du jazz, tels que : Scott Hamilton, Claude Bolling Big Band, Manu Dibango, Benny Golson, Dado Moroni, Lou Donaldson, Frank Wess, Nicholas Payton, le big band de Barcelone, … etc.

A la batterie, il a accompagné pendant 7 ans China Moses, fille de Dee Dee Bridgewater.

Parcourant les plus grands festivals de jazz (Marciac, Vienne, San Sebastian, Tokyo et de nombreux autres en Europe et dans le monde) il s’illustre aussi à la trompette, avec ses différents groupes, pour rendre hommage à l’un de ses maîtres, Louis Armstrong. Il est également chef d’orchestre et batteur au sein de son propre big band, avec lequel il rend hommage à Count Basie.

Mais aujourd’hui, il s’illustre en tant que trompettiste, et chanteur crooner, accompagné par 3 musiciens talentueux pour rendre hommage au grand Louis Armstrong, avec un répertoire allant du Hot Five , Hot Seven jusqu’au All Stars du Maitre Louis.

Donc une soirée exceptionnelle, avec de la bonne humeur et du swing .

 
Jean-Pierre Derouard : trompette, bugle
César Pastre : piano
Camille Granger : contrebasse
Pascal Mucci : batterie

Entrée : 20€, 10€ (adhérent)

Vendredi 16 mars 2018 – 20h45
A Tout Va Bien

A propos

« Duke comme Ellington, Paul pour Gonsalves. Ce disque se veut un hommage au Maestro et à celui qui fut, de 1950 à la fin de l’épopée, en 1974, le plus fidèle et le plus inventif des solistes de son orchestre… Bien sûr la thématique est empruntée au répertoire ellingtonien. Mais ce qu’on entend ici, avec grand bonheur, c’est, au-delà de la volonté de rendre hommage, la grande musique, neuve, sereine et riche de Villéger et de Milanta….»
Claude Carrière.

« Ces deux-là sont, dans leurs générations respectives, des maîtres en jazz de stricte obédience : jazz classique, mais pas que ; jazz moderne, là aussi ils en connaissent un fameux rayon. André Villéger, c’est le saxophoniste qui peut tout aborder, avec le même naturel, la même authenticité, la même pertinence, parce qu’il s’immerge chaque fois dans l’amour du jazz. Et dans ce domaine, Philippe Milanta n’a rien à prouver : adolescent, il hantait les coulisses de concerts, traquant les musiciens de Basie pour satisfaire sa curiosité musicale si bien que, des années plus tard, il eut le plaisir d’entendre le Count Basie Orchestra jouer un de ses arrangements. Il joue du piano comme un orchestre, et ça tombe bien, car le duo rend hommage à un homme orchestre, Duke Ellington, et à un musicien qui fut un pilier de l’orchestre du Duke : le ténor Paul Gonsalves. André Villéger connaît ce répertoire, cette esthétique, cette école, mais il se garde bien de mimer le grand Gonsalves : il joue simplement avec le même engagement, qui donne cette faculté de capter l’écoute. Au ténor, velouté, mais aussi acuité, quand il le faut ; au soprano, un brin de vibrato surexpressif à la Bechet, ce qu’il fait magnifiquement, et sans emphase ; à l’alto pour une seule plage, le doux rappel que l’histoire de l’instrument dans le jazz n’a pas commencé avec Charlie Parker. Côté piano, Philippe Milanta déploie tantôt les fastes d’accords larges, tantôt des traits incisifs, percussifs, avec un à propos qui force l’admiration. Le répertoire est magnifiquement choisi, des tubes de l’orchestre jusqu’à ses thèmes les plus secrets, avec une place de choix pour Billy Strayhorn, l’homme sans qui le Duke n’aurait pas été tout à fait Ellington. Et en plus, le texte du livret est signé Claude Carrière, connaisseur mondialement reconnu de la musique du Duke. Alors, ellingtoniens néophytes ou fans de père en fils, on se rue sur la précieuse galette »
Xavier Prévost (Les Dernière Nouvelles du Jazz)

André Villéger: saxophone
Philippe Milanta : piano

Entrée : 20€, 10€ (adhérent)